Après le confinement et la crise que nous vivons, il semblerait que pour beaucoup, la question du sens dans son activité soit une question au goût du jour… Elle se traduit parfois par un réel malêtre qui pousse à se reconvertir. C’est un sujet que je connais trop bien car je l’ai déjà ressenti, notamment dans mon ancienne vie de jeune cadre dynamique en région parisienne. J’avais tenté alors de me reconvertir dans un métier tourné vers le bien-être, car je pensais ne plus aimer mon métier.
Aujourd’hui, et depuis maintenant plus de quatre ans, j’ai remis du sens dans mon métier à travers l’entrepreneuriat, en remettant l’humain au cœur de mon projet. Très concrètement, en dehors de mon choix de statut qui s’intègre dans l’ESS, ça se traduit par une clientèle à impact, des formations avec un public en insertion, des ateliers pour aider de jeunes entrepreneurs et une écoute tout au long de mes projets. Mais aussi et surtout, une remise en question constante pour aller toujours plus loin dans ce sens.
Actuellement, et après une année très intense où j’ai eu pour mission de coordonner une formation avec un public en insertion, je travaille à de nouvelles prestations à venir et un nouvel équilibre. Pour être plus à l’écoute des besoins, aller plus loin dans mon accompagnement de jeunes publics et prendre le temps de bien faire les choses.
Chaque aventure entrepreneuriale est unique, et c’est ce qui fait la beauté d’une telle aventure, j’aime m’entourer d’entrepreneurs aux jolis parcours.